Propulsé par les acteurs culturels d’Alès Agglomération
Offert par la Ville d’Alès pour souhaiter une bonne année culturelle aux habitants, le traditionnel concert de l’Épiphanie invite pour cette édition 2025 l’Orchestre de Douai – Région Hauts-de-France sur la scène de la grande salle du Cratère. Sous la direction de Manuel Doutrelant, la formation de 50 musiciens professionnels, accompagnée par la brillante et tendre trompette de Romain Leleu, mettra à l’honneur le 7e Art en rendant hommage aux plus grands compositeurs de musiques de film : Ennio Morricone (Cinema Paradiso, Per un pugno di dollari), Léonard Bernstein (Somewhere, America, extraits de West Side Story), Nino Rota (La Strada, Otte e mezzo, The Godfather trilogy), Bernard Herrmann (Psycho suite), ou encore Charlie Chaplin (Limelight, The Kid). Histoire de rappeler que le cinéma, de tout temps sonore, fut musical bien avant d’être parlant…
Fondé en 1971 à l’initiative d’Henri Vachey, l’Orchestre de Douai – Région Hauts-de-France regroupe aujourd’hui près de 70 musiciens professionnels issus de la région. Sous la direction principale de Jean-Jacques Kantorow depuis 2013 ou de chefs invités renommés comme Georges Prêtre, Gianandrea Noseda, Laurent Petitgirard, Nicolas Giusti, Olivier Grangean… avec le concours de concertistes réputés, l’Orchestre ne cesse d’affirmer sa vocation d’ambassadeur culturel. Ainsi s’est-il produit, au fil de 1600 concerts, dans de nombreux pays européens : Belgique, Allemagne, Royaume-Uni, Autriche, Italie, Espagne, Pologne…
Prix d’Honneur de la Ville de Vienne, Premier Prix de la Ville de Stresa, l’Orchestre s’est également exprimé à de nombreuses reprises sur les ondes de Radio France ainsi que sur les principales chaînes de télévision nationales.
Le chef d’orchestre Manuel Doutrelant, qui le dirigera ce 5 janvier, commence le violon dès l’âge de 6 ans au Conservatoire de Lille. Il y obtient une médaille d’or, puis un prix de perfectionnement avant d’intégrer le Conservatoire de Boulogne-Billancourt, où il obtient un 1er prix.
Entre-temps, il entre au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, où il obtient les diplômes supérieurs d’Écriture, d’Analyse musicale et d’Orchestration. Pendant ces années, il étudie avec Bernard De Crépy, Jean-Paul Holstein, Thierry Escaich, Alain Mabit, Michèle Reverdy ou encore Alain Louvier.
Manuel Doutrelant se tourne alors assez naturellement vers la direction d’orchestre. Il reçoit d’abord l’enseignement de Maître Jean-Sébastien Béreau, formateur des plus grands chefs actuels, puis se perfectionne auprès du chef américain Adrian McDonnell. Il est chef invité de l’Orchestre des Jeunes du Nord-Pas-de-Calais, de l’ensemble Lachrymae, et invité d’honneur de l’Orchestre National du Guatemala. Il dirige, depuis 2011, le Jeune Orchestre Symphonique d’Arras (JOSA), ainsi que l’ensemble instrumental du Conservatoire.
Manuel Doutrelant est aussi très sollicité en qualité d’arrangeur-orchestrateur, ce qui lui permet de naviguer sur de nombreux horizons musicaux, de l’Orchestre National de Lille (Jean-Claude Casadessus) au chanteur Matthieu Chédid (-M-).
Romain Leleu étudie, lui, la trompette classique au CNSM de Paris. Il y remporte les premiers prix de trompette et de musique de chambre avant de se perfectionner auprès de Reinhold Friedrich à la Musikhochschule de Karlsruhe. Doté d’une grande musicalité, il donne son premier concert en soliste à l’âge de 14 ans et mène depuis lors une brillante carrière de trompettiste soliste. Naviguant entre le répertoire baroque et la création musicale, il inspire de nombreux compositeurs d’aujourd’hui et enrichit aussi le répertoire de la trompette avec des transcriptions qui ne s’encombrent d’aucune barrière de style ou d’époque. En 2010, il crée ainsi l’Ensemble Convergences, devenu Romain Leleu Sextet : la subtile rencontre d’une trompette et d’un quintette à cordes avec laquelle il revisite les grands classiques de la musique savante et populaire.
Doté d’un jeu lumineux et virtuose et d’une technique imparable, il est notamment élu « révélation soliste instrumental » par les Victoires de la Musique Classique en 2009 et promu Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
Il se produit en soliste sur les cinq continents, tant en récital qu’accompagné des plus grands orchestres : du Royal Albert Hall au Théâtre des Champs-Elysées, en passant par la Philharmonie du Luxembourg et le Seoul Arts Center. En musique de chambre, son généreux sens du dialogue trouve écho auprès de Thierry Escaich, Adam Laloum, Ibrahim Maalouf ou encore Frank Braley.
Romain Leleu étudie, lui, la trompette classique au CNSM de Paris. Il y remporte les premiers prix de trompette et de musique de chambre avant de se perfectionner auprès de Reinhold Friedrich à la Musikhochschule de Karlsruhe. Doté d’une grande musicalité, il donne son premier concert en soliste à l’âge de 14 ans et mène depuis lors une brillante carrière de trompettiste soliste. Naviguant entre le répertoire baroque et la création musicale, il inspire de nombreux compositeurs d’aujourd’hui et enrichit aussi le répertoire de la trompette avec des transcriptions qui ne s’encombrent d’aucune barrière de style ou d’époque. En 2010, il crée ainsi l’Ensemble Convergences, devenu Romain Leleu Sextet : la subtile rencontre d’une trompette et d’un quintette à cordes avec laquelle il revisite les grands classiques de la musique savante et populaire.
Doté d’un jeu lumineux et virtuose et d’une technique imparable, il est notamment élu « révélation soliste instrumental » par les Victoires de la Musique Classique en 2009 et promu Chevalier de l’Ordre des Arts et des Lettres.
Il se produit en soliste sur les cinq continents, tant en récital qu’accompagné des plus grands orchestres : du Royal Albert Hall au Théâtre des Champs-Elysées, en passant par la Philharmonie du Luxembourg et le Seoul Arts Center. En musique de chambre, son généreux sens du dialogue trouve écho auprès de Thierry Escaich, Adam Laloum, Ibrahim Maalouf ou encore Frank Braley.